Après une longue, très longue route depuis la Vendée, nous arrivons enfin au pied du Mont Blanc. Le temps de traverser le long tunnel qui nous relie a l’Italie et nous retrouvons le site du Festival Celtica : là où les arbres ont des visages et les lutins des maisons sur mesure.
Deux jours passés là bas pour profiter à fond de cet endroit féerique. cela nous a permis de rencontrer enfin les talentueux Bodh’aktan, nos cousins du Québec, et de découvrir Northern Lights, un groupe Normand, (si si), qu’on espère bien recroiser prochainement.
On remercie tous les bénévoles, les pros, les organisateurs de ce festival, qui sont sur la brèche depuis fin mai pour aménager le site et qui vont encore passer 15 jours à tout ranger afin de rendre les lieux à la nature.
On remercie le public pour l’ambiance du samedi et pour être resté dimanche malgré la pluie. C’est une plaisante surprise que de rencontrer autant de gens passionnés et toujours prêts à danser si loin au sud.

Gracie mille !

Une journée découverte ! Pour nous la l’opportunité de jouer dans site en plein air, (et en plein soleil), avec une vue splendide, devant un théâtre de verdure cerné par les menhirs, le tout avec un accueil plutôt sympathique. Pour la majorité des personnes présentes, une première à un concert Celkilt, et s’ils n’étaient pas les plus nombreux ils étaient très heureux d’être là.  Pour nous remercier nous avons eu droit à un Ban Bourguignon, (non ça ne se mange pas), unanime. Merci à vous, on se voit bientôt, au Creusot ou à St Symphorien des Bois cet été.

Une soirée pleine de chaleur, avec nos amis de Why Jack, dédiée à la mémoire d’un pote, d’un mari, d’un parent parti trop vite. Vu le monde et l’ambiance festive on peut que l’hommage a bien été rendu. Longue vie à ceux qui restent et se souviennent !

Afin de finir ce week end de folie nous roulons fort longtemps pour notre premier concert en plein air de l’année. Un cadre magnifique,  des gens accueillants et un public plutôt coriace : le genre qui ne se laisse pas intimider par une alerte orange aux orages et qui vient en masse devant la scène.  Le genre de public robuste qui reste pour voir la fin du concert alors qu’il pleut des cordes.  Le genre de public qui a tellement crié,  chanté et sauté que l’orage s’est senti de trop et a capitulé afin de nous laisser finir tranquillement notre concert ; mouillés mais rafraîchis, crevés mais contents. On vous remercie pour l’accueil et l’ambiance et on espère retrouver les gens du Perche au Chartrestival cet été.