Hier, le Mée sur Seine était venu en masse au Mas pour nous acclamer sur scène.

Mais, ce monde qui se masse assis dans le fond ça nous lasse, c’est obscène, ça nous gêne.

« Levez vous gens du Mée », avons nous déclamé, « le concert sera moins mat et l’ambiance n’en sera que plus saine. »

Quelque peu alarmé, le Mée s’est levé, tels cent mâts de voiliers sur une mer agitée.

Mû par nos mats habitués, le Mas s’est lâché, en tempête s’est mué, amusé,  emmêlé, éméché.

Mêêêrci.

 

Le bonheur est dans le kilt,
Courcy vite, Courcy vite,
Le bonheur est dans le kilt,
Courzik vite il va filer.

Du grand art : une équipe d’organisation rodée nous avait préparé une scène et une salle aux petits oignons le tout saupoudré d’un accueil au poil. Convivialité,  chaleur du public, (et de la salle), nous ont fait passer un bon moment et oublier la terrible déception que nous avions de ne pas jouer à Lens ce soir.
Chapeau donc et longue vie au Couzik Festival !

Encore une très grosse ambiance hier soir ! Même la coupure de courant juste à la fin du rappel ne vous a pas empêché de chanter, c’était vraiment génial. Grâce à vous, on aura fini notre week-end en beauté. On vous remercie de l’accueil que vous avez réservé au fougueux ODC ainsi qu’aux talentueux membres de Northern Light.

On nous avait promis un public un peu timide ce soir, on nous avait dit qu’en raison de leur grand âge, beaucoup de spectateurs resteraient probablement assis. Mais le pouvoir du kilt a visiblement fonctionné encore une fois. Nous avons pu distinguer dans la pénombre de la salle, la présence de quelques personnes d’un âge avancé en train de faire la chenille et de danser sur JJack Macisaac comme des enfants de 8 ans ! Merci et bravo à eux, ça fera un chaleureux souvenir de plus à mettre dans nos petites têtes.

Pendant qu’on y est, on remercie également les organisateurs pour le bon accueil dont nous avons bénéficié ainsi que les sauvages de la kilt team, déjà avec nous la veille au Petit Bain et dont la présence a incontestablement facilité la chauffe la salle. Et pour faire plaisir à ces derniers, nous n’avons plus qu’à faire chauffer le banjo pour notre prochain passage dans le coin.

Vous nous réclamiez cette date depuis longtemps : un concert bien à nous sur Paris, nous l’avons fait. Sur scène et sur Seine, Paddy & The Rats, vous, The Moorings et  nous, avons partagé un petit bain de foule, de chaleur, de bonne humeur, comme on les aime. Merci à vous !