Reprise. Comme disait notre incroyable bassiste : « c’est bon de jouer à la maison. »
Nous avons retrouvé plein de gens, dont nos amis du festival Rock en Bresse et avons passé un bon moment sur scène.  Et puis surtout nous sommes repartis avec un joli cadeau souvenir de Fontanès.
Ahhh ! Voir le visage de Jordan Mac Sound épanoui tandis qu’il transporte délicatement une magnifique boule à facettes dans notre Macbus : ça n’a pas de prix !

Le dernier concert de la tournée. Pour l’occasion, l’Alchimiste nous a fait une de ses magnifiques transmutations : nous partîmes 300 avec un public plutôt sage et nous finîmes avec un millier d’êtres humains déchaînés.  Plus, bien sûr,  quelques irréductibles habitués, facilement identifiables grâce à leurs teeshirts verts.
Nous finissons la tournée sur une note positive qui égaiera le long hiver qui nous attend, jusqu’à l’année prochaine ?

 

Un concert exceptionnel : nous avons joué au bord de la mer mais sans lui tourner le dos. Une petite scène sur le port en compagnie d’un public venu passer un bon moment en toute simplicité. Nous nous sommes bien amusés, surtout quand le père Mac Wind est revenu de son traditionnel bain de foule avec une vingtaine de personnes sur la scène.    

                                                                                    

Après un voyage riche en aventures, (une crevaison et un contrôle de la  douane volante), nous arrivons enfin à la Bourboule ; une agréable bourgade au coeur de l’Auvergne.
Après des balances efficaces et un repas express nous avons pu monter sur scène à l’heure afin que le Pouvoir du Kilt soit transmis aux sympathiques touristes qui constituaient la majeure partie de notre public d’hier soir.

Puis nous sommes repartis affronter la route afin d’être à l’heure sur le plateau  d’une mystérieuse émission de télé…
À suivre

La scène la plus insolite de la tournée d’été : imaginez un château en ruine aménagé pendant 3 semaines de dur labeur afin de pouvoir y accueillir 20 000 personnes pendant 2 jours.
Imaginez les kilts sur une scène a 8 m au dessus du public dans la haute cour. Une scène qui se mérite car les 300 derniers mètres se font a pied.
C’est là qu’une bande de moines aussi serviables qu’alcoolisés sont venus a notre secours pour nous aider a porter toutes nos lourdes caisses de matos. Ces tonsurés forts en panse nous ont ensuite invité dans leur QG : un terrible lieu de débauche dont je ne ferai pas la description ici afin de ne choquer aucune âme sensible.
Nous avons également retrouvé avec grand plaisir nos amis de La Horde qui ont partagé leur scène avec nous le temps d’un Wild Rover. Puis nous sommes allés nous préparer pour jouer enfin.
Nos moines mécréants auraient ils fâché leur Dieu hier ? Au point que celui ci a décidé de nous envoyer une pluie torrentielle, nous obligeant à interrompre le concert à sa moitié ?
Nous avons donc dû ranger nos instruments a contrecœur alors que l’ambiance battait son plein et nos moines nous ont encore bien aidés. Une fois tout rangé, la pluie s’était arrêtée et on voyait même les étoiles. Les moines étaient pardonnés ? Probablement et c’est tant mieux car une chose est sûre : leur cœur est encore plus large que leur panse !
Il faudra donc qu’on revienne dans deux ans pour finir ce que nous avons commencé.