Perdus sur une scène au milieu de la foule, nous scrutons l’horizon. Une mer de visages s’étend à perte de vue d’où émergent parfois des mains, des bras, et quelques arbres qui se demandent bien ce qu’ils font là, un épais brouillard, (ou de la fumée, qu’importe ), nous entoure, des flashs et des éclairs s’abattent sur nous. Chatelaillon se déchaîne, tout autour de nous la marée humaine tangue et s’abat en vagues successives, jusqu’à envahir complètement la scène !
Quelle tempête ! Quelle fête ! Merci Chatel en Fête !