Encore de la pluie au programme du soir, à croire que nous avons profané quelque tombeau sacré à notre insu. Alors que nous envisageons sérieusement de sacrifier une cornemuse à Wotan afin d’apaiser sa colère, la pluie cesse de tomber, (comme quoi c’est l’intention qui compte).
Après avoir écopé l’équivalent de trois piscines olympiques, (et un cachalot), de la scène, nous installons notre matos devant une troupe d’irréductibles et impatients fêtards. Nous notons également la présence de plusieurs personnes des Sables d’Olonne, venues rattraper la séance de samedi dernier, (et qui ont donc bien failli repartir bredouille).
(Voir le post précédent).
(De toute façons, on revient aux Sables l’an prochain mais je peux pas vous dire la date).
(Enfin si je pourrais mais j’ai pas le droit pour le moment faudra donc patienter.)
(Et oui ! J’ai mis plein de parenthèses mais il m’en reste plein en stock et si je les utilise pas, on va me sucrer le budget Parenthèses pour 2018)
Malgré le froid et l’humidité, votre ferveur nous a tenu chaud et nous sommes ravis d’avoir pu finalement jouer, et ce jusqu’au bout : que les habitués des Meules Bleues se rassurent : aucun violon n’a été blessé pendant le show.
( … non … rien …)