Dans le « in »des Nuit Salines nous avons plongé nos narines. L’air salin était sain : du satin pour nos tarins. Trêve de baratin, on s’ affame, on s’affine, faut qu’on dîne : direction la cantine. Après les gars de la Marine, on a pluggé nos machines et vérifié toutes nos lignes. Le temps d’une bibine et d’un shoot d’insuline, nous voilà prêts pour la frime. Sur la scène, tels des djinns, on cuisine et on trime face aux frangines et aux frangins qui trépignent sous adrénaline. Sales, en ruine mais des frissons dans l’échine, on quitte Batz pour un Inn, dormir peu car demain on bourrine. Mais si les étoiles s’alignent, on reverra nos mines lors des Nuits Salines.